Dans cet article, on a décidé de faire quelque chose d’un peu différent : répondre à toutes les questions qui reviennent sans arrêt que ce soit sur Instagram, dans nos programmes ou pendant nos appels.
C’est exactement ce qu’on fait dans nos épisodes Q&A… mais cette fois, tu l’as en version article ultra-clair, structuré et optimisé SEO.

On va parler :

• de comment OBM Élite est né,
  
  
• des erreurs les plus courantes que font les OBM débutantes,
  
  
• du mindset nécessaire pour avancer vite,
  
  
• du moment précis où un CEO doit recruter un OBM,
  
  
• et de l’avenir du métier dans les 5 à 10 prochaines années.
  
  

Bref : c’est un condensé de valeur.

Comment est née l’idée d’OBM Élite ?

Beaucoup pensent qu’un jour, on s’est levés avec une idée de génie.
La vérité ? Pas du tout.

Ça a été un cheminement, une succession d’itérations, d’expériences, de clients accompagnés, de constats, et — soyons honnêtes — d’urgences personnelles aussi.

À la base, on s’est lancés à notre compte, chacun de notre côté :

• Moi sur la partie back-office, organisation, process, opérations,
  
  
• Sam sur la partie acquisition, vente, marketing, avec déjà cet angle structure et systèmes.
  
  

Et au fur et à mesure, nos missions se sont croisées :

• mes clients avaient besoin de structurer leurs opérations,
  
  
• ses clients avaient besoin de structurer leur acquisition.
  
  

C’était complémentaire.
C’était fluide.
Et surtout… c’était évident.

Puis, deux constats sont apparus :

1. Les entrepreneurs qu’on accompagnait avaient besoin d’un rôle permanent

Quelqu’un pour faire tourner la machine, gérer l’équipe, s’assurer que les systèmes qu’on mettait en place continuaient d’être exécutés.

2. De l’autre côté, des personnes venaient vers nous pour devenir OBM

Elles voulaient apprendre :

• comment être mieux rémunérées,
  
  
• comment créer des systèmes,
  
  
• comment prendre la bonne posture,
  
  
• comment accompagner un entrepreneur sur le long terme.
  
  

C’est quand ces deux rives se sont rencontrées que l’idée d’OBM Élite est devenue une évidence.

Pas une idée soudaine.
Une réponse logique à une vision, une opportunité, un besoin marché… et à un timing perso qui nous a poussés à trancher vite.

Les erreurs les plus courantes chez les OBM débutantes

Il y en a une qui surpasse toutes les autres :

1) Attendre d’être “prête” avant de se lancer

Cette erreur :

• ne t’apprend rien,
  
  
• te fait perdre du temps,
  
  
• t’empêche de faire toutes les erreurs indispensables pour progresser.
  
  

Ce mythe selon lequel “je dois me former encore pour me sentir légitime”…
C’est l’héritage du système scolaire.
Un réflexe de salariée.

Or, un entrepreneur ne regarde pas ton CV, ni ta liste d’outils que tu “maîtrises”, ni les 56 formations que tu as suivies.

Il regarde : ce que tu fais sur le terrain.

C’est pour ça que repousser le moment de passer à l’action est la pire erreur.

2) Se focaliser sur son étiquette

“Je suis OBM.”
“Je suis bras droit.”
“Je suis COO.”

On s’en fiche.

Les entrepreneurs ne veulent pas d’une étiquette.
Ils veulent une transformation.

Ton rôle, ce n’est pas de te battre pour le meilleur titre.
C’est d’apporter de la clarté, des résultats, de la structure.

Et très souvent, des OBM se sentent “rabaissées” quand d’autres se disent OBM alors qu’elles sont encore assistantes…
Mais ça, c’est un problème d’ego.
Dans la vraie vie : le client s’en fiche complètement.

3) Rester seule

Tu peux être talentueuse…
Si tu restes isolée, tu vas plafonner.

S’entourer :

• te motive,
  
  
• te normalise ce qui te semble “impossible”,
  
  
• te fait monter en compétence dix fois plus vite,
  
  
• te montre ce qui est réellement atteignable.
  
  

Tu ne peux pas créer quelque chose auquel tu ne crois pas encore.
Et tu crois seulement en ce que tu vois autour de toi.

C’est pour ça que la communauté, les mentors et les preuves sociales changent la trajectoire d’une OBM.

À quoi ressemble l’équipe OBM Élite aujourd’hui ?

Aujourd’hui, OBM Élite est structuré en 4 pôles :

• marketing
  
  
• vente
  
  
• delivery
  
  
• opérations (transverse)
  
  

On est 11 personnes au total, dont :

• 2 personnes en delivery
  
  
• 5 en sales
  
  
• 2 en marketing
  
  
• des fonctions transverses
  
  

• nous deux
  
  

Avec cette structure, on a accompagné plus de 450 clients.

Et fun fact :
à deux seulement, on en avait déjà accompagné près de 200… en mode chaos total.

Si on pouvait revenir en arrière : quel conseil on se donnerait ?

“Dire oui à plus de choses”

On entend partout :

“Il faut apprendre à dire non.”

C’est vrai… mais pas au début.
Au début, tu ne sais pas encore ce que tu veux.
Donc tu dois tester, explorer, te confronter.

C’est en disant oui à beaucoup de choses que tu comprends :

• ce qui te plaît,
  
  
• ce qui ne te plaît pas,
  
  
• ce qui fonctionne,
  
  
• ce qui ne fonctionne pas,
  
  
• et ce qui mérite un “non” définitif.
  
  

Prendre des décisions plus vite

Ne pas décider… est la pire décision.
Et repasser plus tard sur un problème “pour voir si ça se tasse”… finit toujours par exploser.

La vitesse d’exécution est une compétence.

Nos best practices mindset

Le mindset n’est pas un concept à la mode.
C’est simple :

Faire des trucs

Le passage à l’action t’apprend plus que n’importe quel livre.

T’entourer de personnes qui ont déjà ce que tu veux

Si elles y arrivent, c’est qu’elles savent quelque chose que tu ne sais pas encore.

Éviter la posture d’arrogance

Si un mentor te dit quelque chose… et que tu te dis intérieurement “non mais moi je ferais différemment”, alors que tu n’as pas les résultats qu’il a…
C’est un blocage.

Laisser partir les personnes qui te tirent vers le bas

Ton environnement doit évoluer avec ton identité.

À quel moment un CEO doit-il recruter une OBM ?

Il existe deux profils d’entrepreneurs :

1. Le profil “artiste”

Il lance des projets, innove, a mille idées…
Mais il ne termine rien.

Ce profil a besoin d’une OBM très tôt, dès qu’il y a de la traction.

2. Le profil “architecte”

Très structuré, très logique… mais qui peut finir prisonnier de sa propre architecture.

Ce profil a besoin d’une OBM quand :

• il est au centre de tout,
  
  
• il n’a plus le temps de créer,
  
  
• il n’a plus d’espace pour redevenir un artiste,
  
  
• il perd sens et plaisir.
  
  

L’OBM prend alors le relais pour faire tourner la machine et redonner de l’air au CEO.

L’avenir du métier d’OBM

Le fond ne changera pas :

Un OBM est un architecte de systèmes et un opérateur de systèmes.

Mais la forme évoluera :

• utilisation de l’IA,
  
  
• management de nouvelles générations,
  
  
• adaptation rapide aux changements,
  
  
• capacité à construire et opérer des systèmes hybrides (humains, outils, IA).
  
  

La compétence la plus importante sera :

La métacompétence.

Celle qui te permet d’apprendre vite, t’adapter vite, décider vite.

Pas un outil.
Pas une méthode.
Pas un logiciel.

Ta capacité à tout intégrer.

Conclusion

Si tu veux devenir OBM ou monter en compétences, garde en tête :

• avance même si tu n’es pas “prête”,
  
  
• arrête de te battre pour une étiquette,
  
  
• entoure-toi,
  
  
• expose-toi,
  
  
• teste,
  
  
• structure,
  
  
• apprends en faisant.
  
  

C’est la seule voie.

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